Bressuire 2 rejoint sur le fil .
Aixe/Vienne – Bressuire b : 1-1 . Alors qu’ils se voyaient déjà gagner, les Bocains ont été rejoints à la toute dernière seconde du match, et concèdent donc le nul.
La victoire en dépit de la manière, tel était le mot d’ordre pour les Aixois face à un concurrent direct au maintien. C’étaient d’ailleurs les hommes de François Malmanche qui se montraient les premiers dangereux. Parfaitement servi dans la surface, Tintignac, l’avant-centre local, s’élevait pour ajuster une tête décroisée qui contraignait Vité à se détendre.
Bordeau crucifie Bressuire Les Aixois affichaient un visage séduisant en début de rencontre et Ribeiro, sur un centre venu de la droite, obligeait à son tour le portier visiteur à un deuxième arrêt réflexe. Mais la partie baissait considérablement d’intensité après le quart d’heure de jeu.
Un faux rythme qui profitait pleinement aux Bressuirais, qui n’avaient, jusque-là, pas réussi à mettre en place leur jeu. Ils s’offraient même le luxe d’ouvrir la marque sur un coup-franc, de prime abord, anodin. Robert, excentré côté droit, voyait sa tentative fuyante échapper à Lévêque et venir mourir au fond des filets (0-1, 29e).
Les locaux étaient sonnés par ce but. Ils avaient toutes les peines du monde à s’en remettre et sonner une once de révolte. Ils étaient d’ailleurs tout près de la correctionnelle, dès la reprise, sur un second ballon repris par Robert en embuscade. Les minutes défilaient à Arliquet et rares étaient les signes laissant présager une égalisation de l’ASA si ce n’est une tentative de Pajot, en première intention, qui venait s’écraser sur la barre.
Les coéquipiers de Lévêque n’étaient cependant pas décidés à abdiquer. Ils assiégeaient la moitié de terrain bressuiraise à l’entame de la dernière demi-heure et mettaient leurs adversaires sous pression.
Mais les visiteurs faisaient front et résistaient aux assauts aixois. On se dirigeait tout droit vers une victoire bressuiraise, qui aurait alors sonné comme une très mauvaise opération pour les locaux. Mais, alors que la rencontre approchait de son terme, Tintignac s’arrachait sur l’aile droite et ajustait un centre-tir où Vité se rendait fautif. Bordeau n’avait plus qu’à pousser le cuir au fond des filets. Et la tribune respirer un grand coup (1-1, 90e+4).
Bordeau crucifie Bressuire Les Aixois affichaient un visage séduisant en début de rencontre et Ribeiro, sur un centre venu de la droite, obligeait à son tour le portier visiteur à un deuxième arrêt réflexe. Mais la partie baissait considérablement d’intensité après le quart d’heure de jeu.
Un faux rythme qui profitait pleinement aux Bressuirais, qui n’avaient, jusque-là, pas réussi à mettre en place leur jeu. Ils s’offraient même le luxe d’ouvrir la marque sur un coup-franc, de prime abord, anodin. Robert, excentré côté droit, voyait sa tentative fuyante échapper à Lévêque et venir mourir au fond des filets (0-1, 29e).
Les locaux étaient sonnés par ce but. Ils avaient toutes les peines du monde à s’en remettre et sonner une once de révolte. Ils étaient d’ailleurs tout près de la correctionnelle, dès la reprise, sur un second ballon repris par Robert en embuscade. Les minutes défilaient à Arliquet et rares étaient les signes laissant présager une égalisation de l’ASA si ce n’est une tentative de Pajot, en première intention, qui venait s’écraser sur la barre.
Les coéquipiers de Lévêque n’étaient cependant pas décidés à abdiquer. Ils assiégeaient la moitié de terrain bressuiraise à l’entame de la dernière demi-heure et mettaient leurs adversaires sous pression.
Mais les visiteurs faisaient front et résistaient aux assauts aixois. On se dirigeait tout droit vers une victoire bressuiraise, qui aurait alors sonné comme une très mauvaise opération pour les locaux. Mais, alors que la rencontre approchait de son terme, Tintignac s’arrachait sur l’aile droite et ajustait un centre-tir où Vité se rendait fautif. Bordeau n’avait plus qu’à pousser le cuir au fond des filets. Et la tribune respirer un grand coup (1-1, 90e+4).
nr79
